Bx Pol - MGP43

Aller au contenu

Menu principal :

POLICE > CITROEN POL
 
 

BX (1982 - 1993)


2 337 016 exemplaires produits (Tous modèles)
14 motorisations de 1.4L à 2.1L proposées.
60cv à 200cv délivrés.



Son histoire...

Le 2 octobre 1982, la BX trône sur le stand Citroën du Salon de Paris.
Dessinée par Bertone, elle prône la légèreté. Finition sommaire (inavouée bien sûr), équipement chiche, panneaux en plastique (capot, hayon notamment) et petits moteurs : la nouvelle Citroën démarre tout juste à 900 kg avec un 1360 cm3 de 60 ch en version de base. Les BX 14E et RE disposent du même moteur mais avec 72 ch tandis que les 16 RS et TRS reçoivent un 1580 cm3 de 90 ch (qui sera porté plus tard à 92,5 puis 94 ch). Cette dernière version, la 16 TRS, se distingue par une petite vitre de custode fumée qui résistera bien mal au outrages des intempéries. Appréciée pour son confort, son habitabilité et sa tenue de route (la suspension est hydropneumatique), la BX est en revanche critiquée pour son freinage trop assisté et difficile à doser. Ce phénomène associé aux pneus trop étroits rendait les blocages fréquents sur le mouillé comme sur le sec.
Le démarrage commercial de la BX est bien lent. Non par l'absence de demande mais par le manque d'offre. En octobre 1982, alors que plus de 1000 bons de commandes sont passés chaque jour, seuls 80 exemplaires sortent quotidiennement des chaînes. De plus, le constructeur pensait que la demande se porterait majoritairement sur la 14 RE ; en fait, 60 % des ventes concernent la 16 TRS. Il faudra attendre la mi-1983 pour que Citroën parvienne à répondre à peu près à la demande. C'est à cette époque que la gamme va commencer à se développer. On note ainsi l'arrivée des BX 19D et TRD dotées du 1905 cm3 diesel de 65 ch apparu quelques temps auparavant sur la Talbot Horizon. Ce moteur passera ensuite à 71 ch tandis que la 19D récupérera le 1.8 l de 60 ch. Le turbo diesel (1,8 l, 90 ch), qui fera les beaux jours de la BX, démarre en 1987.
Les versions essence musclées arrivent en prenant leur temps. Après la 19 GT (105 ch, en 1984) c'est au tour de l'attachante BX Sport préparée par Danielson (125 ch, 1985) d'entrer en scène. D'abord lancée en série limitée, elle est ensuite intégrée au catalogue. Elle sera remplacée en 1987 par la GTi (125 ch) puis épaulée par la 16 soupapes (160 ch) très performante mais dont les suspensions montraient leurs limites. A la fin des années 80 et début des années 90, la BX s'essaye même à la transmission intégrale. On en retiendra la BX GTi 4x4 plutôt que le break diesel atmosphérique aux performances pitoyables. Au cour de la vie de la BX, les appellations (TRS, TRD, TZD, TGE, etc) changeront très fréquemment, surtout à la fin.
Restylée en juillet 1987 (nouveaux boucliers, clignotants blancs plus gros, tableau de bord plus classique), la BX s'éteint en 1993 après une belle carrière, laissant la place à la Xantia. On déplore en revanche l'aventure minable de la BX4TC (fin 1985) développée hâtivement et sans budget pour les rallyes. Trop lourde, trop grosse, pas fiable, elle fit un flop sur la terre comme sur route. Annoncée à 240 000 F dans sa version client (200 ch), elle fut rapidement bradée à moitié prix et les derniers modèles furent détruits sans avoir trouvé preneurs. Il n'y avait pourtant que 200 exemplaires à vendre.

norev
 

Citroën BX 2000 modèle 1982
Parution 1982
Référence : 895
Zamac / Plastique

BX Break (1986 - 1993)


2 337 016 exemplaires produits (Tous modèles)
6 motorisations de 1.4L à 1.9L proposées.
71cv à 125cv délivrés.



Son histoire...

Le break BX est lancé au printemps 1985. Cette variante a été conçue à l'économie et Heuliez, qui en assurait le développement et la fabrication, a dû conserver les portes arrière de la berline. D'où une jointure assez peu esthétique avec la ligne de toit, mal masquée par un ensemble peint en noir.
La BX break reprenait l'empattement de la berline mais avec un porte-à-faux arrière allongé de 17 cm. Les moteurs et la gamme étaient également calqués sur ceux de la berline, exception faite de certaines motorisations, dont le pétillant 16 soupapes de 160 ch.

SVM
 

Citroën BX Break

Référence : 101
Résine

 
 
 
 
Retourner au contenu | Retourner au menu